
"... Dans l’accident de Puisseguin, le bus très récent, environ 1 an était équipé de la climatisation, un système rempli avec le nouveau gaz réfrigérant R1234yf en remplacement du R134a.
Le bus a touché le camion qui était en portefeuille sur la route, choc minime puisque le chauffeur, la personne la plus exposée en cas de choc frontal, était chez lui le soir même. Sur ce car, le condenseur de climatisation est à l'avant; lors du contact avec le camion, au niveau du réservoir du camion, il a été perforé. Le gaz s'est échappé.
Ce nouveau gaz rendu obligatoire dans l'UE est très dangereux : explosif, inflammable très rapidement et toxique.
Il a été imposé par les technocrates de l'union Européenne malgré les mises en garde des constructeurs automobiles, et la diffusion d’un rapport de tests accablant effectué par Mercédès. En brûlant, ce gaz dégage du fluorure d'hydrogène qui se transforme en acide fluorhydrique au contact de l'eau, il y a donc danger également pour les pompiers !
Les passagers n'avaient aucune chance de s'en sortir vivant : soit intoxiqués, soit brûlés par l'acide ou le feu.
Les journalistes ne font que répéter la version officielle de l'AFP, en nous racontant que le réservoir de gazole du camion à mis le feu au bus. Etant tous plus ignares les uns que les autres, ils ont même diffusé un reportage où l’on voyait les employés de la DDT de Libourne râcler la terre des bas côtés de la route (route fermée pendant quelques jours) et la remplacer par de la nouvelle terre ! Ils avaient sans doute cru que c'était pour faire des plantations !
Ce gaz développé et produit exclusivement par les américains et une société mixte dans laquelle ils sont majoritaires, fait qu'une recharge de climatisation sur nos voitures, qui coutait moins de 100 euros avec l'ancien gaz, passe à 250 euros avec le nouveau gaz. La cause de cette malheureuse tragédie est finalement due qu'aux députés européens qui, à la solde des lobbyistes qui arpentent à longueur d'années les couloirs du parlement de Bruxelles, ont accepté une telle aberration. Une parmi tant d'autres !..."